Days [ ) Something in me | F. Scott Fitzgerald, 1922

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by+Rene+Burri
     Rene Burri 1967
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“Long ago,” he said, “long ago, there was something in me,
but now that thing is gone. Now that thing is gone,
that thing is gone. I cannot cry. I cannot care.
That thing will come back no more”

  F. Scott Fitzgerald , Winter Dreams , 1922

               Also:
Father’s Day | F. Scott Fitzgerald’s letter to his daughter:‘Things to Worry About’, 1933
The Great Gatsby / Book Covers | F. Scott Fitzgerald, 1925

1 thought on “Days [ ) Something in me | F. Scott Fitzgerald, 1922

  1. je suis a la fenêtre
    toi tu es dans la baignoire
    tes pieds dépassent
    je peux les voir dans la glace de l'armoire

    il y a ce disque idiot
    qui est rayé au milieu
    et les tarots , que je te tire sur ton châle en camaïeux

    il y a l'odeur d'encens
    et les bougies ont fondu
    tout est si vague
    le fil des pensées s'est perdu

    je ne sais même plus si je pense
    je ne sais même plus si je pense

    il y une fille que j'aimais
    a la fin de la nuit
    j'étais a contempler les novas
    et les anneaux de saturne
    je veux dire
    j'étais mon jean vide et mon blouson
    qui flottait a un bâton d'os
    les os friables de la came
    j'étais le singe du travelo
    tu te souviens? ….(baldwin? am not sure)
    j'étais le singe du travelo
    oui j'étais vraiment lui
    le cul rose sur le rebord du caniveau

    le singe du travelo
    et ses petits doigts noir
    tu sais qui caressait mon cul comme une plaie ouverte
    mon nez je veux dire
    mon nez ou s'engouffraient les autos
    comme dans un tunnel
    mes narines !
    avec leur tuyau déchappement
    des nuages d'héroïne
    et le cheval vapeur
    horse power , horse power

    a écouter un vieux jazz
    devant un vieux bar
    avec du papier de soie coltrée (not sur about 'soie coltrée')
    je veux dire tu vas dans les chiottes ou quelque chose comme ca
    et moi , le cul dans le caniveau
    et le flottement , indécis
    d'un drapeau de trottoir
    dont j'étais la hampe
    et les étoiles qui tournaient partout
    tout autour de ma tête
    ma cervelle de came
    mes os friables
    qui un jour disparaitraient aussi
    dans l'eau du caniveau
    avec mon reflet
    avec mon nez
    mon nez brûlé refleté..

    je suis celui qui a vu un bulldog débouler
    et qui bringuebalait tout les immeubles de la rue de l'angle deriere lui
    a l'est de ses traineaux
    que tu es beau bulldog!!!
    que j'aime ta robe rouquine
    wouaw wouaw wah
    il a levé sa pine bleue pour pisser
    combien je t'aime
    et au bout de la laisse, Zelda
    un peu vieux me fait-elle
    votre procédé
    détrompez-vous
    c'est toujours efficace avec un chien
    ce n'est pas a vous que ce compliment était adressé
    vous l'avez cru parce que vous etes rousse, aussi
    c'est pour votre chien que mon coeur bat!
    heh je veux dire, je disais ca comme ca
    wouaw wouaw wouaw
    les chiens wouaw !
    les chiens wouaw dans la nuit!
    la nuit wouaw!
    les chiens wouaw
    et toi!? et toi wouaw!

    le jour alors se lève
    i love you Zelda!
    i love you Zelda!
    je chantais
    je chantais avec le soleil
    Zelda!

    je suis a la fenêtre
    toi tu es dans la baignoire
    tes pieds dépassent
    je peux les voir dans la glace de l'armoire

    Dashiell Hedayat & Gong / Long Song For Zelda / Obsolete / 1971
    https://www.youtube.com/watch?v=M1Kqf5gPsdg

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